"Quand Simorgh enlevant son voile, révéla son visage, tel l’éclatant soleil Elle jeta sur la terre des ombres par milliers Et des oiseaux parurent, sans nombre, à chaque souffle Celui qui sait de qui il est l’ombre portée Se trouve libéré, qu’il vive ou bien qu’il meure Si tu n’a pas les yeux pour voir Simorgh C’est que ton cœur n’est pas poli comme un miroir Ce miroir, c’est le cœur, regarde dans ton cœur! Peut-être y verras-tu enfin briller sa face" ____________________________________________ « Mon discours est sans parole, sans langue et sans bruit; comprend-le sans esprit et entend-le sans oreille » - Attâr